samedi 27 février 2010

Mon Mac

Ah ben crime bine. Je l'ai eu, mon Mac.

C'est beau.

Un véritable objet de beauté, tout blanc, immaculé, technologique.

Je sens que je vais y passer beaucoup trop de temps.

mercredi 24 février 2010

L'art de l'aléatoirisme

J'ai découvert ce site par une amie du cégep. C'est bien trop amusant. L'outil numéro un du procrastinage, mais ô combien le plus personnalisé jamais inventé.


Créez vous un profil (ça vous connecte même avec Facebook... c'est tu pas génial) et choisissez vos intérêts. Cliquez sur « Stumble! » et voilà que ce générateur vous propose des pages qui pourraient vous intéresser. La page ne vous plaît pas / vous avez fini ? Recommencez le processus simple mais efficace d'appuyer sur un bouton.

Il y en a pour tous les goûts : paléontologie, photographie, santé, actualités, jazz, cinéma muet, littérature, thé, situation des femmes, ouioui...

Bref, on pourra sûrement trouver des choses et les partager. Yay ! Un autre moyen de perdre mon temps ! J'aime ça.

dimanche 21 février 2010

Une semaine dans le silence. Je suis vivante, tout va bien. Mais j'étais assez préoccupée ces derniers jours et je n'avais pas tout à fait là tête à écrire ce genre de truc ici.

Y'a des choses trop personnelles dans la vie. Comme le sexe, M. Je suis désolée que tu n'en aies pas vent ici. Haha. Pardon.

Et je n'ai pas mon Macbook avant vendredi. Et ça ne veut même pas dire que je l'aurai vendredi.

J'ai si hâte !

dimanche 14 février 2010

Pensées valentines

« La Saint-Valentin, c'est capitaliste. C'est matérialiste. C'est rien qu'une raison pour que les pharmacies se fassent de l'argent avec le chocolat et les condoms. »

C'était mon leitmotiv durant les derniers jours.

Mais je me suis surprise à être un peu déçue quand il m'a dit qu'il allait être en compétition tout le weekend à Rivière-du-Loup et que, par conséquent, il ne serait pas là le jour de la Saint-Valentin. « Et alors? » répondai-je avec un sourire désintéressé... et trompeur.

Je regardais, avec un petit-mini-riquiqui pincement au coeur, tous ces couples aujourd'hui, au magasin, l'air heureux, et tous ces hommes qui venaient acheter des cadeaux pour leur copine ou toutes ces femmes qui s'achetaient un joli ensemble pour faire plaisir.

Ç'a pas d'allure.

Je suis gaga. J'ai trop d'endorphines dans le cerveau. Ça fait 5 semaines qu'on est ensemble. J'ai jamais été aussi heureuse.

Et les gens nous aiment bien ! Nos amis aiment nous voir ensemble parce qu'on a l'air « tellement heureux ».

Mais aujourd'hui, nous n'étions pas ensemble. Et je suis malade. Mais c'était une bonne journée quand même. Ç'aurait pu être pire. Genre que je viens de ma faire laisser par mon copain et je viens d'apprendre que mon ami est séro-positif et que je suis dépressive modérée. Genre.

mercredi 10 février 2010

Faits divers

Ça là, c'est un des faits divers qui m'a le plus touché jusqu'à présent.

J'ai été émue (j'ai même failli verser une larme, c'est pour dire...) quand j'ai appris il y a une heure à RDI que les corps de Vincent Lamoureux et Hugo Pereira ont été repêchés sous le Pont-Viau à Rivière-des-Prairies.

Deux garçons qui avaient la vie devant eux. Vingt et 22 ans. Deux colocs et amis. Qui, après une soirée relax dans un bar, meurent subitement.

On les retrouve une semaine plus tard, probablement tuméifiés, bleus, gelés, mais surtout, morts.

Je trouve ça accablant.

Moi qui d'habitude n'est pas du tout ébranlée par ce genre d'histoire, me suis retrouvée à espérer qu'ils seraient retrouvés vivants.

Ce qui est très absurde, d'ailleurs.

De quel autre scénario auraient-ils pu être victimes ? D'un enlèvement qui aurait mal tourné ? C'est pratiquement pire, en pensant qu'un tierce parti aurait été en jeu.

Enfin bref, je trouve ça désolant.

mardi 9 février 2010

Elle a chaud !

Marcel Duchamp. Quel comique.

L.H.O.O.Q. Vous pigez ?

lundi 8 février 2010

C'est promis.

Bientôt, quand j'aurai mon ô tant convoité MacBook, j'écrirai davantage ici.

Pas de promesse d'ivrogne.

jeudi 4 février 2010

L'amour rend crétin

Il me dit que je suis belle. Que je suis cute. Que j'ai des beaux yeux. Que j'ai des belles fesses. Que je sens bon.

Ça me gêne.

Mais il est très honnête et il continue quand même.

Il me dit des choses que personne ne m'a jamais dites.

Hier, après une bonne soirée au chaud, il m'a dit qu'il comprenait maintenant ce que je ressentais au début. Cette sorte de peak sentimental qui me faisait fondre à chaque fois que je le voyais.

Et lui, bien qu'à prime abord il semble se mettre les pieds dans les plats (à mon avis (féminin)), il se justifie toujours impeccablement. Par exemple, il m'a dit qu'il me trouvait de plus en plus belle.

Première réaction typiquement... mienne : « Euhhh !? (Quoi, tu me trouvais pas de ton goût mais tu t'es dit : "Bah, je vais faire avec ce que j'ai" ? )». Sa réponse : « Tu es plus belle de jour en jour parce que je t'aime plus de jour en jour ». Qu'est-ce que tu veux répondre à ça ? Rien. L'embrasser.

Et moi je lui disais à quel point je ne me reconnaît plus. Moi qui, habituellement, vante mon indépendance, me rend compte à quel point nous nous voyons tous les jours et nous voulons nous voir tous les jours. On a jamais assez l'un de l'autre.

Les moments que nous passons ensemble sont un heureux mélange d'intérêts communs (assez variés d'ailleurs) et de, d'attirance, pourquoi pas.



Quand je pense à lui, je me dis : « Eille. Ben c'est mon copain celui-là ! » et ça me rend heureuse. J'ai pas besoin de plus.

L'amour rend vraiment crétin.