OÙ DIABLE S'EN VA NOTRE SOCIÉTÉ?
Un employé chez Wal-Mart est mort piétiné vendredi dernier aux États-Unis. Il travaillait le jour du Black Friday - le vendredi de la fin de semaine de Thanksgiving. Il a été piétiné par la masse de consommateurs qui venait profiter des rabais.
Deux hommes se sont tiré dessus au Toys R Us ce même jour et sont morts de leurs blessures. Pensez à leurs femmes qui diront : mon mari est mort car il s'est fait tirer dessus par le mari d'une autre femme qui voulait le même jouet que moi... pour toi, mon enfant. Tu n'as plus de père maintenant. Joyeux Noël.
Pourquoi le « Black » Friday? Je n'en ai aucune idée, mais maintenant on aura une bonne raison de l'appeler Black.
dimanche 30 novembre 2008
samedi 29 novembre 2008
Le toi du moi, signé la femme du président de l'hexagone
Je suis ton pile
Tu es mon face
Toi mon nombril,
Et moi ta glace
Tu es l'envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T'es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l'aorte et moi le cœur
Toi t'es l'instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l'herbe et moi le joint
Tu es le vent j'suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T'es le jouet et moi l'enfant
T'es le vieillard et moi le temps
Je suis l'iris tu es la pupille
Je suis l'épice toi la papille
Toi l'eau qui vient et moi la bouche
Toi l'aube et moi le ciel qui s'couche
T'es la liqueur et moi l'ivresse
T'es le mensonge moi la paresse
T'es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l'enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre
Je suis l'oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T'es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l'allumette
T'es la chaleur j'suis la paresse
T'es la torpeur et moi la sieste
T'es la fraîcheur et moi l'averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j'suis dièse
T'es le Laurel de mon Hardy
T'es le plaisir de mon soupir
T'es la moustache de mon Trotski
T'es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T'es le jamais de mon toujours
T'es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l'envie et moi le geste
T'es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe,
Tu es la tombée moi l'épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l'élégance et moi la grâce
Tu es l'effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l'épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps...
T'es le sérieux moi l'insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l'ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l'éclair et moi la foudre
Toi la paille et moi la poudre
Tu es le surmoi de mon ça
C'est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T'es le jamais de mon toujours
T'es mon amour.
Tu es mon face
Toi mon nombril,
Et moi ta glace
Tu es l'envie et moi le geste
Toi le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la guitare et moi la basse
Je suis la pluie et tu es mes gouttes
Tu es le oui et moi le doute
T'es le bouquet je suis les fleurs
Tu es l'aorte et moi le cœur
Toi t'es l'instant moi le bonheur
Tu es le verre je suis le vin
Toi tu es l'herbe et moi le joint
Tu es le vent j'suis la rafale
Toi la raquette et moi la balle
T'es le jouet et moi l'enfant
T'es le vieillard et moi le temps
Je suis l'iris tu es la pupille
Je suis l'épice toi la papille
Toi l'eau qui vient et moi la bouche
Toi l'aube et moi le ciel qui s'couche
T'es la liqueur et moi l'ivresse
T'es le mensonge moi la paresse
T'es le guépard moi la vitesse
Tu es la main moi la caresse
Je suis l'enfer de ta pécheresse
Tu es le Ciel moi la Terre
Je suis l'oreille de ta musique
Je suis le soleil de tes tropiques
Je suis le tabac de ta pipe
T'es le plaisir je suis la foudre
Tu es la gamme et moi la note
Tu es la flamme moi l'allumette
T'es la chaleur j'suis la paresse
T'es la torpeur et moi la sieste
T'es la fraîcheur et moi l'averse
Tu es les fesses je suis la chaise
Tu es bémol et moi j'suis dièse
T'es le Laurel de mon Hardy
T'es le plaisir de mon soupir
T'es la moustache de mon Trotski
T'es tous les éclats de mon rire
Tu es le chant de ma sirène
Tu es le sang et moi la veine
T'es le jamais de mon toujours
T'es mon amour
Je suis ton pile
Toi mon face
Toi mon nombril
Et moi ta glace
Tu es l'envie et moi le geste
T'es le citron et moi le zeste
Je suis le thé, tu es la tasse
Toi la putain et moi la passe,
Tu es la tombée moi l'épitaphe
Et toi le texte, moi le paragraphe
Tu es le lapsus et moi la gaffe
Toi l'élégance et moi la grâce
Tu es l'effet et moi la cause
Toi le divan moi la névrose
Toi l'épine moi la rose
Tu es la tristesse moi le poète
Tu es la Belle et moi la Bête
Tu es le corps et moi la tête
Tu es le corps...
T'es le sérieux moi l'insouciance
Toi le flic moi la balance
Toi le gibier moi la potence
Toi l'ennui et moi la transe
Toi le très peu moi le beaucoup
Moi le sage et toi le fou
Tu es l'éclair et moi la foudre
Toi la paille et moi la poudre
Tu es le surmoi de mon ça
C'est toi Charybde et moi Scylla
Tu es la mère et moi le doute
Tu es le néant et moi le tout
Tu es le chant de ma sirène
Toi tu es le sang et moi la veine
T'es le jamais de mon toujours
T'es mon amour.
vendredi 28 novembre 2008
Mon cerveau me fait mal
Aujourd'hui, en lisant l'article d'une amie sur son blog, je me suis rendue compte d'une chose : je ne suis pas fière de moi. J'ai l'air de m'amuser, d'être aimée et d'aimer, mais qu'est-ce que ça vaut? J'ai un emploi que j'aime bien, je réussi plutôt bien à l'école même! J'ai autour de moi des amis formidables sur qui je peux compter peu importe le moment ou la situation, et j'ai un copain, avec qui je crois qu'il peut se passer de belles choses.
Mais je sors et je rentre tard, je me couche tard, je devient malade, je ne fait pas des travaux xyz ou les remets à la dernière minute, je ne respecte pas des engagements... Tout ça pour me le faire dire bien haut et fort par mes parents. Je suis jeune et je vis, bon sang! Qu'on me laisse apprendre de mes erreurs. Juste depuis un an ou deux, j'en ai appris et vécu beaucoup plus que ce que je pensais jamais apprendre et vivre.
Je suis encore bien jeune pour dire que j'ai grandi, et pourtant! Je le dit à l'instant. Je me rend de plus en plus compte de mes limites physiques, mais surtout psychologiques et morales. Je les vois bien clairement ces limites mais... elles sont loin derrières moi. C'est pourquoi je suis si épuisée que ça depuis deux semaines.
Pourtant tout ne pourrait pas aller mieux : il y a certaines personnes avec qui j'ai totalement mis le passé de côté et tout va bien. Les deux garçons avec qui j'ai eu des histoires peu convaincantes me sont maintenant de très bon amis. Je fais des nouvelles connaissances, des amis d'amis, beaucoup trop sympa, des gens à l'école avec qui je sors le soir maintenant! Je pourrais en parler des lignes et des lignes.
Mais je trouve quand même le moyen, par dessus tout ça, de me reprocher quelque chose... je n'arrive pas à mettre de mot dessus, c'est comme ça, c'est tout.
Mais je sors et je rentre tard, je me couche tard, je devient malade, je ne fait pas des travaux xyz ou les remets à la dernière minute, je ne respecte pas des engagements... Tout ça pour me le faire dire bien haut et fort par mes parents. Je suis jeune et je vis, bon sang! Qu'on me laisse apprendre de mes erreurs. Juste depuis un an ou deux, j'en ai appris et vécu beaucoup plus que ce que je pensais jamais apprendre et vivre.
Je suis encore bien jeune pour dire que j'ai grandi, et pourtant! Je le dit à l'instant. Je me rend de plus en plus compte de mes limites physiques, mais surtout psychologiques et morales. Je les vois bien clairement ces limites mais... elles sont loin derrières moi. C'est pourquoi je suis si épuisée que ça depuis deux semaines.
Pourtant tout ne pourrait pas aller mieux : il y a certaines personnes avec qui j'ai totalement mis le passé de côté et tout va bien. Les deux garçons avec qui j'ai eu des histoires peu convaincantes me sont maintenant de très bon amis. Je fais des nouvelles connaissances, des amis d'amis, beaucoup trop sympa, des gens à l'école avec qui je sors le soir maintenant! Je pourrais en parler des lignes et des lignes.
Mais je trouve quand même le moyen, par dessus tout ça, de me reprocher quelque chose... je n'arrive pas à mettre de mot dessus, c'est comme ça, c'est tout.
lundi 24 novembre 2008
Ça me déconcentre.
Être une fille oblige, je me dois d'écrire des messages à caractère sentimental de temps en temps, sinon, on me déshériterai sur-le-champ.
Bien voilà, ce sont les petites attentions qui me font le plus plaisir.
Un sourire appuyé, un rire franc, un visage sincère. De l'humour pour animer la conversation, beaucoup d'humour... et surtout du sarcasme. Ça me plaît. Des paroles réconfortantes, des remerciements pour presque rien.
L'attente d'une prochaine rencontre. Tricher, appeler l'autre et se dire qu'on a hâte de se voir (traduction : se dire qu'on se manque). Être à un endroit où on ne voudrait pas nécessairement être, mais où tout semble mieux dès qu'on pense à cette personne. Ne pas être capable de se concentrer dès que quelqu'un nous demande des nouvelles de cette personne.
Ça fait chaud au cœur par des journées si froides.
Bien voilà, ce sont les petites attentions qui me font le plus plaisir.
Un sourire appuyé, un rire franc, un visage sincère. De l'humour pour animer la conversation, beaucoup d'humour... et surtout du sarcasme. Ça me plaît. Des paroles réconfortantes, des remerciements pour presque rien.
L'attente d'une prochaine rencontre. Tricher, appeler l'autre et se dire qu'on a hâte de se voir (traduction : se dire qu'on se manque). Être à un endroit où on ne voudrait pas nécessairement être, mais où tout semble mieux dès qu'on pense à cette personne. Ne pas être capable de se concentrer dès que quelqu'un nous demande des nouvelles de cette personne.
Ça fait chaud au cœur par des journées si froides.
dimanche 23 novembre 2008
« Ça rentre au poste »
Bravo.
Vous êtes tous tombés dans le panneau, avouez.
J'ai écrit quatre messages pour les quatre derniers jours où je ne suis pas allée sur mon ordinateur (ou presque).
Haha!
Vous êtes tous tombés dans le panneau, avouez.
J'ai écrit quatre messages pour les quatre derniers jours où je ne suis pas allée sur mon ordinateur (ou presque).
Haha!
samedi 22 novembre 2008
J'ai mal au cou et je sais pourquoi, cette fois.
Je n'ai rien à dire ce soir, si ce n'est que;
Je n'ai pas écouté les nouvelles depuis cinq jours,
Je n'ai même pas survolé le journal (pour ne pas en nommer un) depuis trois jours,
J'ai ouvert la télé pour regarder Bob l'Éponge, et ce, mercredi dernier,
J'ai passé beaucoup trop de temps à déballer, plier, rassembler des culottes,
J'aime bien mon nouvel emploi.
Je n'ai pas écouté les nouvelles depuis cinq jours,
Je n'ai même pas survolé le journal (pour ne pas en nommer un) depuis trois jours,
J'ai ouvert la télé pour regarder Bob l'Éponge, et ce, mercredi dernier,
J'ai passé beaucoup trop de temps à déballer, plier, rassembler des culottes,
J'aime bien mon nouvel emploi.
vendredi 21 novembre 2008
Chose sucrée.
L'héroïne de ce blog est encore allée voir des spectacles gratuits (dès que les doormen voyaient que nous avions des passes, ils devenaient presque instantanément soumis) de groupes indie émergents.
J'ai fait quelques découvertes bien intéressantes. Si vous avez le temps... faites donc un saut sur le MySpace du groupe Sweet Thing. Génial.
J'ai fait quelques découvertes bien intéressantes. Si vous avez le temps... faites donc un saut sur le MySpace du groupe Sweet Thing. Génial.
jeudi 20 novembre 2008
Ça s'appelle savoir se rendre utile.
Bon, bon, vous allez me dire : ah! la profiteuse, elle a fait cinq heures de bénévolat seulement pour avoir une passe qui donne accès à tous les spectacles du festival M pour Montréal...
Eh bien oui!
Eh bien oui!
mercredi 19 novembre 2008
F.A.C.E. ou comment gérer une cliente insatisfaite locace.
F ixer son attention sur les propos tenus
A voir de l'empathie
C almer en s'excusant
E ndosser la responsabilité et trouver des solutions possibles.
A voir de l'empathie
C almer en s'excusant
E ndosser la responsabilité et trouver des solutions possibles.
mardi 18 novembre 2008
C'était au Centre Bell.
C'est une légende. Bob Dylan, ce poète-chansonnier à la voix chevrotante. Même que je comprenais rarement ce qu'il chantait... ou disait, plutôt.
Un spectacle sans première partie, sans entracte, sans « Bonjour Montreal », c'est rare, ça. J'y ai eu droit, et je le respecte pour ça. En fait je suis plus allée le voir pour dire que je l'avais vu. À 90$ le billet, ça fait cher, pour dire : « Moi, j'ai vu un concert de Bob Dylan ».
Un spectacle sans première partie, sans entracte, sans « Bonjour Montreal », c'est rare, ça. J'y ai eu droit, et je le respecte pour ça. En fait je suis plus allée le voir pour dire que je l'avais vu. À 90$ le billet, ça fait cher, pour dire : « Moi, j'ai vu un concert de Bob Dylan ».
lundi 17 novembre 2008
17h55
Aucun fait d'actualités/divers ne m'a marquée aujourd'hui.
Aucune expérience nouvelle vécue.
Aucune phrase dite m'a accrochée.
Que du vieux. C'est du pareil au même.
Aucune expérience nouvelle vécue.
Aucune phrase dite m'a accrochée.
Que du vieux. C'est du pareil au même.
dimanche 16 novembre 2008
Bof, ç'a beau me coûter cher... ce que ça peut être agréable.
Vraiment, c'était super, les derniers temps passés. (Sortir avec mon copain, voir mes bons amis, encore voir mon copain, et encore plus.) Je suis épuisée par contre, mais, vraiment beaucoup. Erf. Je dois faire un appel important. Puis je cours dans les bras de Morphée.
Joyeux anniversaire Phil.
Joyeux anniversaire Phil.
samedi 15 novembre 2008
Parlon$ argent.
Mes fins de semaine me coûtent de plus en plus cher, bon sang. Depuis un mois, je dépense environ 30$ par week-end. Et ce n'est qu'une moyenne.
Mais bon, avec mon nouvel emploi, ça devrait bien aller.
Je vends des soutient-gorges et des culottes rue Saint-Denis.
Mais bon, avec mon nouvel emploi, ça devrait bien aller.
Je vends des soutient-gorges et des culottes rue Saint-Denis.
vendredi 14 novembre 2008
J'ai parti un mouvement de masse
Il y avait tellement de personnes dans l'escalier montant, direction Montmorency, station Berri-UQÀM, que j'ai monté l'escalier qui descendait.
Plusieurs m'ont suivi.
Plusieurs m'ont suivi.
jeudi 13 novembre 2008
Ou cogner des clous
Fermer les yeux juste quelques secondes. Juste pour revitaliser ma vision floue. Ah, je suis bien comme ça, je vais rester quelques instants de plus... Juste quelques minutes!
Ce sentiment est beaucoup trop récurrent ces temps-ci. Je suis bien trop crevée. Pourtant, je dors. Pas assez faut croire.
Ce sentiment est beaucoup trop récurrent ces temps-ci. Je suis bien trop crevée. Pourtant, je dors. Pas assez faut croire.
mercredi 12 novembre 2008
Choses à ne pas faire/dire
Je reviens d'un match d'improvisation! Ce que ça peut être divertissant. J'aime beaucoup.
Choses à ne pas dire à la première date :
« Haha! Très intéressant. Mais parle moi de ta sœur. »
« Haha, ce que je m'amuse. Mais oh! Attend. Aurais-tu un tampon? »
« Écoute, moi le matin, j'ai des gaz. Tu sais, et ils puent. Bon, chez toi ou chez moi? »
Choses à ne pas dire à la première date :
« Haha! Très intéressant. Mais parle moi de ta sœur. »
« Haha, ce que je m'amuse. Mais oh! Attend. Aurais-tu un tampon? »
« Écoute, moi le matin, j'ai des gaz. Tu sais, et ils puent. Bon, chez toi ou chez moi? »
mardi 11 novembre 2008
Inspire, expire, inspire, ration.
Habituellement affligée de logorrhée, aujourd'hui rien ne sort.
Je pourrais parler de ma fatigue chronique, de mon emploi fraîchement acquis, des travaux perpétuellement incomplétés, des chiffres qui s'empilent dans ma tête et que je recrache n'importe comment sur mon examen de mathématiques...
Mais je ne saurais pas le faire... pour ce soir, en tout cas.
Je pourrais parler de ma fatigue chronique, de mon emploi fraîchement acquis, des travaux perpétuellement incomplétés, des chiffres qui s'empilent dans ma tête et que je recrache n'importe comment sur mon examen de mathématiques...
Mais je ne saurais pas le faire... pour ce soir, en tout cas.
dimanche 9 novembre 2008
Hier encore
J'avais vingt ans
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps
J'ai fait tant de projets
Qui sont restés en l'air
J'ai fondé tant d'espoirs
Qui se sont envolés
Que je reste perdu
Ne sachant où aller
Les yeux cherchant le ciel
Mais le cœur mis en terre
Hier encore
J'avais vingt ans
Je gaspillais le temps
En croyant l'arrêter
Et pour le retenir
Même le devancer
Je n'ai fait que courir
Et me suis essoufflé
Ignorant le passé
Conjuguant au futur
Je précédais de moi
Toute conversation
Et donnais mon avis
Que je voulais le bon
Pour critiquer le monde
Avec désinvolture [...]
Joyeux anniversaire grande sœur, ne brûle pas tes vingt ans!
Avec amour, Taps.
samedi 8 novembre 2008
Pluie, boisson et marche à 4h du matin dans Montréal, main dans la main.
J'ai hâte à l'avenir.
En fait, je ne sais pas.
On verra bien ce qu'il me réserve.
En fait, je ne sais pas.
On verra bien ce qu'il me réserve.
vendredi 7 novembre 2008
Ma première entrevue à vie s'est bien passée.
« Quelles sont vos cinq valeurs prioritaires et pourquoi?
- Euh... »
Oui, bien sûr que j'ai fini par répondre, mais... j'y ai mis au moins six bonnes secondes. Je ne m'y attendais surtout pas, et pourtant.... c'est important, les valeurs, quand on y pense. Bon en plus, j'ai été chanceuse, je n'ai eu qu'à en nommer trois puisque j'avais tapé dans le mile avec le respect, l'initiative et l'implication. Les trois valeurs dominantes de la compagnie. Ouf! Sauvée par la cloche. J'en suais un coup.
Bref, je me suis étonnée moi-même et je dois rencontrer une autre dame lundi prochain, dans la succursale dans laquelle je vais sûrement travailler.
- Euh... »
Oui, bien sûr que j'ai fini par répondre, mais... j'y ai mis au moins six bonnes secondes. Je ne m'y attendais surtout pas, et pourtant.... c'est important, les valeurs, quand on y pense. Bon en plus, j'ai été chanceuse, je n'ai eu qu'à en nommer trois puisque j'avais tapé dans le mile avec le respect, l'initiative et l'implication. Les trois valeurs dominantes de la compagnie. Ouf! Sauvée par la cloche. J'en suais un coup.
Bref, je me suis étonnée moi-même et je dois rencontrer une autre dame lundi prochain, dans la succursale dans laquelle je vais sûrement travailler.
mercredi 5 novembre 2008
5.87$, en fait.
Découvrir d'un autre œil la ville même dans laquelle on est née et manger pour la première fois un smoked meat chez Schwartz's, ça n'a pas de prix.
mardi 4 novembre 2008
Goodbye-McCain-Day
Ça allait être historique d'une manière ou d'une autre. Pensez-y; il y a à peine 40 ans, les hommes de couleur noire ne pouvaient même pas voter. Et maintenant, l'un d'eux est à la tête du pays.
Il y a quelques instants j'ai entendu un discours parfait de la part de John McCain. J'ai aussi vu un gros plan sur Sarah Palin, les larmes aux yeux. Mais j'ai aussi vu Jesse Jackson les larmes aux yeux, et ça vallait plus que mille mots.
Il y a quelques instants j'ai entendu un discours parfait de la part de John McCain. J'ai aussi vu un gros plan sur Sarah Palin, les larmes aux yeux. Mais j'ai aussi vu Jesse Jackson les larmes aux yeux, et ça vallait plus que mille mots.
lundi 3 novembre 2008
Retour dans le temps
Revenons en arrière, si vous le voulez bien.
Il y a quelques mois, je détestais Facebook, mais y allais tout de même régulièrement. J'étais jeune, étudiante, avide de connaissance, voulant découvrir le monde. J'aimais sortir entre amis, aller voir des spectacles, des concerts. La musique m'allumait, les opéras me hérissaient le poil sur les bras et le théâtre me fascinait.
Et bien, rien n'a changé.
Il y a quelques mois, je détestais Facebook, mais y allais tout de même régulièrement. J'étais jeune, étudiante, avide de connaissance, voulant découvrir le monde. J'aimais sortir entre amis, aller voir des spectacles, des concerts. La musique m'allumait, les opéras me hérissaient le poil sur les bras et le théâtre me fascinait.
Et bien, rien n'a changé.
Bienvenue sur mon nouveau blog.
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