mercredi 5 août 2009

200

C'est comme remettre des pantoufles que l'on avait caché pendant l'été et qu'on ressort du fond du placard par les temps froids.

Après plus d'une semaine de temps morts, je reviens ici et je retrouve tout comme je l'avais laissé, tout comme avant.

C'est réconfortant.

Entre travail, chalet, journée avec toute la famille élargie à mon chalet (il ne manquait que 2 personnes sur les vingt!), encore du travail, voir des amis, j'ai eu le temps de réfléchir.

Et beaucoup à part ça...


____________________________________________


J'ai fait, mardi dernier, un souper pour mes amis juste parce que j'avais envie de les voir. Et j'me suis pas ménagée! Levée à 9 heures, au marché Jean-Talon à vélo l'heure suivante, j'ai cuisiné et préparé la soirée... tout l'aprèm.

Ç'a valut le coup, je pense. On s'est bien amusé. Il manquait, à mon avis, un personne, peut-être deux, mais je crois que dans les années qui vont suivre, on aura de la difficulté à avoir tout le monde à chaque fois.

J'ai même fantasmé un peu et déclaré qu'on devrait faire ça tout les mois, en rotation de maison. Ça serait drôlement bien.

Je nous vois déjà, l'une avec son copain, l'une avec son mari, lui avec sa xième conquête, eux deux encore ensemble... Haha.

On peut toujours rêver.

2 commentaires:

Carl a dit…

Félicitations pour ton 200e billet. J'ai toujours autant de plaisir à te lire qu'au début. Vivement la suite!

Мадлен зоэа a dit…

Mmmmm, je sais pas à qui tu attribuais le copain et le mari mais... Comme dirait ma mère :

"Continue de rêver!"