mardi 15 septembre 2009

Leçon de vie

J'avais l'impression, lundi (et pendant toute la journée...) d'avoir fait, ou dit, quelque chose d'incorrect.

J'avais des remords, je me sentais croche pour aucune raison.

Aujourd'hui, je suis allée souper chez mon amie Éliane, dont je vous ai sûrement déjà parlé quelque part ici. Elle m'a dit d'appeler les personnes concernées. D'y aller, de les appeler, parce que j'hésitais.

Alors, dès que j'ai mis le pied hors de sa maison, je composais déjà le numéro sur mon cellulaire.

J'ai appelé la personne numéro un.

J'ai demandé si ça allait. Oui.

J'ai demandé si j'aurais pu faire quelque chose de froissant. Non.

Est-ce que je paranoïais? Sûrement.

Ouf! Tant mieux. On a jasé pendant quinze minutes, puis, bonne soirée.

Wow, c'était si facile que ça... Eh oui.

J'ai répété l'exercice avec la personne numéro 2. Même verdict.

Ah... d'accord... si j'ai des questions concernant les sentiments d'autrui, je n'ai qu'à demander... C'est tellement plus clair maintenant!

2 commentaires:

Frédérique a dit…

L'ennui avec cette technique, c'est que quand t'as réellement froissé quelqu'un, ça a beau être plus clair, c'est moins agréable.

Mais c'est sûr que c'est mieux que de rester avec un doute.

Quoique parfois quand tu sais finalement ce qu'il en retourne, tu voudrais n'avoir jamais demandé.

J'imagine que ça dépend des situations, et des gens.

My two cents.

L a dit…

t'as parfaitement raison... mais là, justement, avec les gens, je pouvais me le permettre. je pouvais me dire que s'il y avait réellement un problème, je pourrait tout faire pour le régler... oui, tout! haha