mardi 29 décembre 2009

L'épisode où L revient à la maison

25 décembre

Je me suis réveillée. Le matin de Noël ! J'étais toute énervée.
Comme notre tradition le veut, ma mère nous prépare un bas rempli de petits chocolats et gadgets de Noël. Je l'ai entendue s'approcher de la porte de ma chambre, le déposer, puis repartir en courant dans ses petits pieds pantouflés. On aurait dit un petit lutin. Ça m'a fait sourire.

On a déballé les cadeaux. Chez nous, ce qui est bien, c'est qu'on se fait des listes. Comme ça, on sait exactement ce que les autres veulent. Alors pas de déception.

Et le soir, après être allés déposer nos choses au chalet, on est allés chez mon oncle... Le traditionnel party de Noël en famille, vous savez.

Et mon cousin ressemble définitivement beaucoup, beaucoup trop à mon ancien prof d'histoire (oui, à Micks Demers. J'ai fêté avec Michel Demers.). Il a dit quelques phrases qui auraient pu être toutes droites sorties de la bouche de Mike Demers. J'étais troublée.


26 décembre

Ce que j'ai fait : dormir tout l'après-midi et regarder des épisodes de Friends.


27 décembre

La famille vient faire un tour dans notre minuscule chalet. On rentre tous, incroyablement. La partie la plus drôle : le prospect de ma cousine, qui a mon âge, est là. C'est pas son copain ! Juste son prospect. Qui vient dans la famille élargie. Je sais pas pour vous, mais quand t'amènes quelqu'un dans la famille élargie, ça devient assez sérieux...

En soirée, on a laissé les vieux au chalet et mes cousin(e)s m'ont amenée en ville. J'ai découvert que j'étais bonne à Rock Band, et que je chantais aussi aigu (?) que Sting, le chanteur de The Police, et Gleen Frey des Eagles (Hotel California...) haha. Bien amusant. Et mon cousin qui nous refill à qui mieux-mieux de sa vodka-jus d'orange.


28 décembre

Je regarde encore Friends et je regarde surtout les flammes lécher la grosse bûche dans le foyer. Je suis hypnotisée. Je réfléchis beaucoup. Montréal me manque. Vous me manquez. Il me manque. J'ai hâte de lui reparler.


29 décembre

Enfin de retour ! Je viens de remarquer que lorsque je laisse un commentaire, ça fait « elle a dit ». C'est beau. J'y avais jamais pensé. Haha.

jeudi 24 décembre 2009

Du gui ! Du houx ! Du poinsettia ?

Ça va bien. Je suis encore de bonne humeur. C'est le temps des Fêtes et ça me plaît. Demain, je vais me réveiller beaucoup trop tôt à mon goût mais incapable de me rendormir, car, comme une gamine, j'irai déballer des cadeaux en pyjama.

Et c'est franchement bien comme ça.

Je vais dormir encore un peu dans l'auto en écoutant de la musique (qui me fera j'imagine trop penser à lui, alors je n'entendrai rien). Puis, nous allons arriver au chalet. On ira voir la famille. Comme d'habitude. Et je verrai mes cousins avec leurs blondes tous tellement 819.

Je vais jouer dans la neige toutes mes journées, et je vais lire, et je vais dormir.

Et vous allez me manquer. Et je vais revenir à Montréal, et je vais vous en parler.

J'ai hâte.

mercredi 23 décembre 2009

Confusion

Je suis bien trop de bonne humeur ces temps-ci.

L'autre jour, je suis littéralement arrivée en sautillant à la job. Les autres filles se demandaient bien ce qui se passait avec moi.

Je sais ce qui se passe avec moi (et je sais que vous le savez aussi), mais je ne veux pas me l'avouer. Parce que c'est quelque chose de gros. D'intimidant.

Je ne mange presque plus le matin parce que j'ai l'estomac tout noué. J'écoute de la musique dans mes écouteurs mais je n'entends même pas les paroles tellement je suis occupée à penser à d'autres choses.

Sauf que là... je vais aller à mon chalet pendant cinq jours : pas de téléphone, d'ordinateur, ni même de télévision (à peine). Imaginez le temps que je vais avoir pour me torturer l'esprit avec mille et une pensées.

Oh merde.

Il m'a dit qu'il s'était ennuyé. Il m'a dit qu'il faudrait bien qu'on se voit. Il m'a donné son numéro de téléphone sans même que je lui demande.

Merde. Mais qu'est-ce que je veux de plus? Toute cette situation devient de plus en plus évidente. Pourtant, on dirait que je ne suis pas prête. Pas encore. Cette fameuse peur de l'engagement? Peut-être. Peut-être que je veux trop que ça fonctionne alors je refuse d'y croire.

J'en sais rien.

Je ne sais plus. Je ne suis plus sûre de rien.

Parlez-moi de frustration.

dimanche 20 décembre 2009

« Spéciale »

J'ai vu PN ce soir.

On est allés à l'Orienthé se rappeler de bons souvenirs. C'était vraiment bien. On a parlé pendant des heures autour d'un bon thé aux milles saveurs et d'une shisha au léger goût de mangue, dans une ambiance orientale rouge et orangée qui fait penser à des harems turcs.

On a commencé par se mettre à jour, parler de ci, de ça, de la session qui est enfin terminée, de nos sorties, de nos bons et mauvais coups (et aussi de ceux des autres hihi), etc.

Puis, comme l'atmosphère était assez relax, j'en ai profité pour lui demander pourquoi. Pourquoi. Il m'a donné une réponse juste et très franche, je crois. Il m'a surtout dit qu'en ce moment, il est dans une meilleure position qu'il y a un an, mais qu'il continue tout de même à s'arranger. Quand le temps viendra, il m'en parlera davantage.

Une année d'attente pour cette réponse aura valu la peine (ce que je ne pouvais pas croire il y a de cela quelques mois)...

Dire qu'il y a exactement un an, je pleurais toutes les larmes de mon corps pour ce garçon.

Aujourd'hui, il m'a dit que j'étais assez « spéciale » pour qu'il me dise quelques trucs qu'il n'a même pas dit à ses meilleurs copains. Je me sentais bien. Et spéciale.

Ça faisait un bon moment qu'on s'était vus seulement nous deux et au bout du compte, c'était comme si je lui avait parlé pour la dernière fois il y a deux jours.

Bref, je suis vraiment contente. C'est vraiment un bon garçon. Il m'a même donné des conseils pour attraper mon poisson (dixit PN). Vous savez, car je dois aller le pêcher. Haha. Je me sentais drôle de lui parler d'un autre garçon. Mais je crois que finalement on était tout de même assez à l'aise pour ça haha.

En tout et partout, ce fut une bien belle soirée. J'espère sincèrement qu'il y en aura d'autres comme ça.

samedi 19 décembre 2009

Oh my Zeus

Oh mon dieu. (Je dois vous dire d'entrée de jeu que je n'aime pas utiliser cette expression si religieusement connotée. Mais je n'arrive pas à en trouver une autre qui ait une définition si internationale. Je pourrais dire « Oh my Zeus » vu que je suis une étudiante en Histoire et ça serait assez comique. Mais bon, fini ces inepties.)

Hier, c'était mon party de fin de session. De nature très gênée et timide, j'ai failli ne pas y aller pour les raisons mentionnées ci-haut. ERREUR. Ce fût la soirée la plus amusante depuis un bon moment.

C'était dans une brasserie à la limite du gros pub sale, mais c'était bien tout de même. J'ai utilisé la technique d'arriver un peu plus tard, pour se faire remarquer et pour être sûre qu'il y ait déjà des gens. En plus, j'ai demandé à mon nouvel ami super marrant de me rejoindre au métro, comme ça, entrer à deux, ça paraît moins perdu. Vous savez, cette fameuse technique.

Je ne connaissais pas beaucoup de gens (mais je les connaissais tous de vue) alors j'ai commencé à me promener de groupes de personnes en groupes, et puis, vous savez quoi, ça c'est très bien passé. J'ai parlé à des gens que je croyais inabordable (parce qu'ils sont si mignons) et à des filles dont j'avais haïs la face au premier regard dès le premier jour. Ces filles s'avérant être très sympathiques, je dois le mentionner. Et ces garçons, très sympa aussi, mais très en couple également.

On a chanté tous en choeur Bohemian Rhaspody et Layla et D.A.N.C.E et autres succès qui ne fonctionnent pas nécessairement ensemble. On a dansé sur des hits douteux d'un jukebox virtuel.

Mais la meilleure partie c'est qu'il y a eu plusieurs rapprochements, dont une fille et un gars qui ne vont pas du tout ensemble mais qui étaient bien trop dedans, et un ami avec une fille mignonne de sciences qui est venue faire sont intruse parmi les historiens (fous).

Ah oui! Et moi aussi.

Je vous le jure. Je suis comme dans un monde parallèle. Mais bon, je m'énerve un peu car ce n'était pas grand chose, mais assez pour moi et pour me dire qu'il y a matière à développer.

C'était assez décontract toute la soirée, j'allais le voir de temps en temps, parler un peu, regarder lui et ses copains jouer au billard, je faisais la fille pas trop groupie mais quand même intéressée. Vous savez, cette fameuse technique.

Plus la soirée avançait, mieux c'était (essayez de faire cet exercice d'écriture sans trop vous emporter, alors que vous jubilez, je vous jure que c'est assez ardu). Enfin, il y a définitivement eu un rapprochement. Soit je n'étais pas assez pompette (ah, c'est ce que je dis) soit c'est surtout qu'il y avait trop de gens assez connus autour et j'étais gênée (gêne, quand tu nous tiens) pour faire quoi que ce soit de plus sans être épiée.

Avez-vous jamais eu le sentiment d'en faire trop? Trop coller, trop « toucher le bras en riant parce que c'est tellement drôle » (encore une fameuse technique)? Je crois que je me suis bien débrouillée à ce niveau (je vous le dis, j'étais en feu hier soir).

Bref finalement moi et lui et quelques autres de mes nouveaux meilleurs amis (haha) sommes partis à la fermeture de l'endroit... ce qui est relativement assez tard. Mais ç'a tellement valu la peine et je suis vraiment contente d'être sortie de ma coquille pour la soirée.

Soirée qui avait commencée en se disant que la première fois qu'on s'était rencontrés, on s'aimait pas la face tant que ça. Haha.



Enfin... je crois que c'est maintenant le moment de l'année où il va m'éviter quelques jours.

jeudi 17 décembre 2009

?

Mes sentiments sont mélangés.

J'ai les sentiments mélangés.

1 + 1 = 2. Ok. Le ciel est bleu... tout va bien de ce côté. On dit des chevaux et non des chevals. C'est bien. Le problème n'est pas de ce côté alors.

En fait c'est que l'autre jour j'ai réalisé qu'une fois sur deux, c'est moi qu'on a laissé. Les autres fois, c'est moi qui a plaqué. J'ai aussi compris que ç'a dû faire mal. Parce que moi j'ai eu mal quand ça m'est arrivé. Et ce n'est pas quelque chose que je veux particulièrement revivre.

Je veux juste vivre sans ce genre de tracas. Je veux être libre comme l'air et vivre.

Ne pas avoir à me préoccuper de ce que pense tel ou tel homme. Je voudrais vraiment que, plus tard, je ne sois pas comme tout ce que j'ai peur d'être (et ce sur quoi je m'enligne à être).

Mais pour ne pas avoir le coeur brisé (entre autres tracas), il faudrait donc que j'évite toute sorte de relation homme-femme? J'espère tellement pas. Comme, quand je vais rencontrer des hommes (et là je parle de, dans une dizaine d'années) et que ça va « cliquer », genre ça va finir au lit et quelques rendez-vous ou je vais être capable de me faire de nouveaux amis hommes? Ou les amis que je me fais ou que j'ai présentement seront mes seuls vrais amis « i »?

Putain d'crise de questionnement.

mercredi 16 décembre 2009

Amigos

Je suis si oisive.

Je passe mes journées en pyjama, à ne rien faire que d'aller surfer sur le Net, regarder des épisodes de Friends, et me dire que je veux une vie comme ça, à New York, avec mes cinq meilleurs amis.

Je veux vivre en appartement, avec Audrey et/ou M. Et que nos amis habitent en face. Et que les autres passent tout leur temps chez nous, à manger du chinois autour de la table du salon.

Qu'on se raconte nos aventures, qu'on ait au moins un copain par mois, qu'on aime bien mais dont on se sépare avec pas tant de regrets que ça.

Mais surtout, surtout, qu'on habite à New York.



Bah, au moins, j'ai une étape d'accomplie : j'ai des amis.

mardi 15 décembre 2009

Il vient de me faire lire un de ses textes... sur l'amour.

Oh la la la la. J'ai chaud.

lundi 14 décembre 2009

5 semaines !

Je décompresse, ma session est finie, j'ai un party dans quelques jours, ça va mieux, il ne m'a pas parlé de mon amie blonde depuis un moment (haha), j'ai acheté tous mes cadeaux de Noël... tout va bien, tout va bien.

jeudi 10 décembre 2009

Ça va pas, ça va pas, ça va pas.

Non, ça roule pas.

Je dois me vider le coeur. Je dois être franche. Mais ça serait stupide. Et égocentrique.

Mais je suis tellement fâchée. Je suis déçue, triste, jalouse.

Ça ne se peut pas. Il n'y a rien à envier, pourtant j'en suis jalouse. L'histoire précédente, je m'en fout. Moi, ça me metterais mal à l'aise. Le « jeune homme » avait au moins huit ans de plus qu'elle. Moi, j'aurais eu les chocottes.

Donc le problème est pas là, mais bien qu'il (je commence à moins l'apprécier lui là... haha) m'a dit que si mon amie « anglaise » n'avait rien à faire ce soir , que je pourrais bien l'inviter.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

Me semble oui.

Je me sens mal de me sentir mal comme ça. Mais que voulez vous.

« Cavalier » qu'il s'est appelé.

Ça va bien, ça va bien, ça va bien.

Enfin, je veux dire, tout roule, là.

Eille, est-ce que je vous ai dit ça?

Mon amie blonde (oui oui, celle-là) s'est fait accoster par un jeune homme. Encore. Il lui a donné le moyen de le rejoindre. Encore. C'est quoi cette folie? Elle a à peine dix-sept ans!


... Non, c'est ce que je pensais, je ne vous l'avais pas encore dit.

mardi 8 décembre 2009

Mais dans ma tête c'était une date, vu qu'on sera que lui et moi. Non? Oui.

Mais bon, apparement, il sait tellement pas que c'est une date... qu'il a invité quelqu'un. Qui ne m'aime pas particuilèrement (c'est l'impression qu'il me donne). Au moins, c'est un autre garçon.

lundi 7 décembre 2009

Ah et, juste comme ça hein, il ne sait pas que c'est une date.

vendredi 4 décembre 2009

Ah oui, et je viens de me décrocher une date. WIN !

Parce que, bon.

Oui, je le concède, on (je) parle beaucoup de garçons ces temps-ci.

Parce que moi, ça me tente pas de parler de l'école tant que ça. Parce que moi, ma passion, c'est l'histoire, et de l'histoire, j'en fais à l'école. Parce que je ne vais plus au théâtre, ni à l'opéra, ni voir tant de spectacles que ça : je n'ai donc aucune critique à faire. Parce que ma vie a changé avec le cégep, je ne vous vois plus tous les jours, je ne peux plus vous dire tout ce que je ressens quand ça arrive, comme nous le faisions avant, car ces choses qui arrivaient, c'était à l'école, et avec vous. Parce qu'il ne m'arrive aucune histoire palpitante dans le métro ou au bar, parce que je ne viens pas de vivre une rupture effroyable, laquelle me ferait écrire mille billets mélancoliques, nostalgiques, ou haineux. Parce que ce à quoi je pense, présentement, c'est : de finir au plus sacr*** un travail d'une envergure monstrueuse, d'étudier pour ne pas couler d'examens, et surtout à combien j'ai hâte que la session soit finie, sinon, je pense aux garçons.

Et comme ces histoires là se vivent très différemment pour chacun de nous, et que la fin de session, vous en avez ras le cul, ben je vous parle de garçons.

Voilà. C'est dit.

jeudi 3 décembre 2009

Pareil comme avant.

Ce soir, j'étais supposée revoir P-N.

Revoir mon ex.

J'ai appelé comme prévu, vers 19h30 (je me suis dit qu'il serait libre).

J'ai appelé une deuxième fois comme je m'y attendais, et une demi-heure plus tard (ça lui aurait laissé le temps de... j'sais pas, de se libérer).

Je l'ai attrapé sur le net plus tard et il m'a demandé « Quels appels? » auxquels il n'avait pas répondu.



Et dire que moi, j'étais nerveuse à l'idée de le revoir, seulement nous deux, après probablement 6 mois.

mercredi 2 décembre 2009

« Vieux pd de merde »

Les femmes auront toujours un problème avec les hommes. Les hommes auront toujours un problème avec les femmes. Il y aura toujours quelque chose d'incompatible. Toujours.

Il n'y a pas un couple (le plus parfait et le plus heureux soit-il) qui n'ait jamais eu de désaccord. Ils en ont tous, aussi bénins soient-ils.
« On va à L'Académie ou au Vieux Duluth, chéri? »
« Je sais pas, choisi. »
« À L'Académie alors.»
« Ah... ok. »
« Quoi, t'es pas content? ».
Vous voyez le genre.

Qu'il soit l'homme le plus parfait de la Terre et elle, la plus parfaite au monde, oubliez ça. Vous connaissez les lois des aimants? Il es donc totalement faux d'avancer que « qui se ressemblent, s'assemblent »!

Wow, la belle analogie.

(Là, Véro (surtout pour la suite), inquiète toi pas, j'pas en train de te bitcher. Je pense sincèrement comme toi haha)

En fait, tout ça est pour dire qu'il faut pas avoir l'air surprise (je féminise le texte, bien entendu) quand un gars devient la pire des merdes après quelques semaines, même si on est encore en couple avec cette dite merde.

Ce n'est qu'un seul des nombreux problèmes : découvrir la vraie nature de l'autre. La vraie, qui arrive après quelques semaines... Celle que l'on découvre un peu trop tard, celle qui a tous les défauts qui nous font grincer des dents, hérisser le poil des bras et serrer les poings.

Celle qui nous fait quitter l'autre. Parfois on regrette, parce que c'était imbécile : alors on veut ravoir cette personne. Parfois on a fait le bon choix, et la personne devient invivable, exposant mille.

Je crois que c'est le cas de Véro.

Je crois aussi que Jo ne sait tout simplement pas ce qu'il veut. Écoute, il a ton âge? On ne sait pas encore qui nous sommes vraiment (et par là j'inclus toi, moi, tous mes lecteurs en gros haha). Et on a le temps pour le découvrir. Il ne faut pas s'inquiéter.

Il y a des belles choses qui s'en viennent, pour tout le monde.

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Bon, je finis sur une bonne note. C'est bien. Pour une fois qu'il y a un peu de positivisme dans la vie.
Bizarre... il vient de me dire qu'il n'aimait pas frencher. Haha.
Ce n'est pas de la persévérence qu'il me faut, en fait, c'est un miracle.

Ou un philtre.

Ou qu'il se frappe la tête si fort qu'il fasse de l'amnésie et que je puisse lui faire croire n'importe quoi.

Mouais.

mardi 1 décembre 2009

Eros' Entropic Tundra d'Of Montreal

(pas besoin de regarder la vidéo, ce n'est qu'une image, je l'ai mis pour la chanson!)

Une chanson me trotte dans la tête depuis peu : la voici. Je me suis attardée aux paroles pour la première fois il n'y a pas longtemps et j'ai eu comme une illumination. Haha. Je me sens vraiment comme ça en ce moment.

En plus, la musique est bonne.


All I ever get is sad love
While watching all my friends find their happy love
I don't understand why I should be without love

All I ever get is sad love
Always falling for the ones who feel nothing for me
Sometimes I think I should just forget about love

I was walking with my parents
Through St. Peter's park
When I saw a young couple with a child
They were all holding hands and smiling
They seemed very nice, seemed to have a nice life

All I ever get is sad love
Feeling incomplete and below being loved
I don't know why it has been so hard to find love

All I ever get is sad love
The unrequited kind is all I have procured
And it was nothing at all
Like what I've heard about love

Without love life has no great reward
Leaving us damaged or feeling so bored
Devoid of memories nothing to record
Wishing the ones that we adore loved us more

Of Montreal (ils sont de Géorgie, É-U...) ont ce dont de raconter des histoires qui leur arrivent vraiment, avec les textes les plus satiriques et les plus francs qu'on ne connaîtra jamais, le tout sur un air électro-pop indé assez léger.

Je parlais de lâcher prise hier...

Oubliez ça.

Le prix est trop beau pour ne pas persévérer.