La page blanche.
Le trait vertical qui clignote à intervalles réguliers. La seule chose qui semble en mouvement, c'est le curseur. Ni les idées, ni même les paupières qui ont cessé de battre tant l'attention est gravement fixée.
Pourtant il y a un deadline assez motivant. Pire, ce ne sont pas les ressources qui manquent. Sauf que rien ne semble matière à créer, inventer, imaginer. Rien n'est bon à la fabulation ou au conte.
La vie regorge de toutes ces petites histoires, de ces petites anodineries et banalités dont il est bien courant de relater. Or ce n'est pas ce qu'il faut. Pas maintenant.
Il fallait trouver quelqu'un qui raconterait une histoire, son histoire, et dont la trame constituerait la source d'inspiration première.
C'est ce qu'il faut. De l'inspiration.
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