Je prends du temps à moi, j'écris ce que je veux, c'est bien, je me sens mieux, je m'expressionne.
Aujourd'hui.
J'étais clouée au lit. Plus par fatigue que par maladie. J'ai dormi et ça m'a fait un semblant de bien subconscient. J'ai peut-être manqué quelque chose à l'école : je ne sais pas et je m'en balance, honnêtement.
Demain.
Je vais revenir dans ce rythme effréné tellement faux, avec tous ces gens inconnus autour de moi et tous ces gens qu'au fond je ne connais pas autant que je le pense...
On a tous quelque chose à cacher. Je ne sais pas quoi, mais c'est certain. Parfois on le dit, parfois on le garde pour soi. Parfois on l'écrit quelque part.
Ne cherchez pas; il n'y a pas de sens à ce que j'écris.
Maintenant.
1 commentaire:
Non, tu n'as rien manqué. Si ce n'est la pièce de théâtre (à mon avis très lourde) et le fait que le gars de hockey vas peut-être resté paraplégique (les médecins ont dit à ses parents de se faire à l'idée...).
On suffoquait dans l'école aujourd'hui. L'air était irrespirable et l'ambiance glauque.
Journée ô combien pénible.
«tous ces gens inconnus autour de moi et tous ces gens qu'au fond je ne connais pas autant que je le pense...» l'an prochain, ce sera pire...l'avantage d'être entouré d'inconnus, c'est l'anonymat. Preuve que tous ces gens ne sont pas si inconnus que ça présentement.
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