mercredi 21 octobre 2009

Mais t'as pas toujours raison

M, tu avais raison.

Le garçon (un autre, pas celui dont il est question ici - je sais, je sais... haha) est vraiment, mais vraiment mignon.

Je ne sais pas pourquoi je vous annonce ça comme ça. Vous ne le connaissez même pas. Peut-être que c'est parce que ça me rend heureuse et que c'est bien de partager sa joie.

Ça ne fait qu'une semaine qu'on se connaît. Je l'ai recroisé seulement une fois depuis le trip à Québec (et aujourd'hui en plus!).

J'ai été vraiment chanceuse, c'est peu dire.

J'étais en cours de philosophies (non, ce n'est pas une erreur. J'ai mis un s. Je crois qu'il y a plus d'une philosophie. C'est pour ça.). Ça faisait plus d'une demi-heure qu'on parlait de suicide, tous les bureaux en rond dans la classe. À huit heures le matin, c'est rough, croyez moi. J'en avais marre, alors je suis sortie, comme me le permet le cégep (ce qui n'est qu'un des nombreux avantages de ce genre dont : manger en classe, mâcher de la gomme, ne pas avoir trop peur d'envoyer des textos, etc.) et je suis allée prendre une marche, parce que de toute manière ce ne sera pas de la matière à examen.

J'ai évidemment abouti au café étudiant. Où il, lui, oui-oui, parlait avec des copains, dont un autre dans mes cours. Je n'ai pas hésité une seconde. Enfin, peut-être une demi-seconde. Sortant mon plus beau sourire, je suis allée les saluer (lui plus que les autres haha) et on a entammé la conversation.

Le genre de conversation très légère où les deux participent. T'sais là... oui, ce genre de conversation là. Haha.

Ah.

Pour avoir bonne conscience, je suis retournée en classe pour les dix dernières minutes. Dieu sait que je ne voulais pas partir!

Mais à ma (très) grande joie, il était toujours là quand je suis revenue dix minutes plus tard, victorieuse d'avoir enfin quitté ce cours dont franchement, je me passerais bien.

Alors c'est ça. On a encore parlé. C'était plaisant. Il aime tellement toute la même musique que moi. C'est ultra facile de trouver un sujet de conversation.

Je dois vous dire que je crois que j'avais les joues engourdies quand il est parti pour son cours. Je souriais non-stop.

2 commentaires:

Мадлен зоэа a dit…

Permettez- moi de rire, Mademoissssselle.

L a dit…

ris tant que tu veux, on est quitte.

:D